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Retour en France

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Le 13 septembre 2014, à Lyon, FRANCE

Couché tôt hier soir, je n’ai pas réussi à m’endormir avant 23h environ. J’ai quand même assez bien dormi jusqu’à me réveiller vers 7h00. Après une douche, j’ai fait mon sac, puis, vers 9h00, j’ai demandé au « concierge » de faire l’état des lieux et de me rendre ma caution de 50 dollars.

Dans la rue, je croise un homme qui me lance « c’est dangereux de se balader ici avec ça », faisant référence à ma casquette des Dodgers. Je lui ai répondu qu’en effet, je le savais . Je rejoins Embarcadero et passe par la place du marché où j’étais déjà passé avec ma valise à mon arrivée à San Francisco. Je trouve un Starbucks où je vais prendre mon petit déjeuner : un hot chocolate, un yaourt grec citron-framboise et un cookie. Je commence à rédiger mon article avant de repartir.

Direction la « navette » pour l’aéroport. Il s’agit en fait des transports Bart. J’arrive à l’aéroport. Je dépose ma valise (à peine 17 kilos, je suis large !). Je passe les différents contrôles. Contrairement à Miami où le vol était intérieur, il me faut passer ici par une sorte de scanner, sans chaussure ni casquette. Au moment des contrôles, il m’a fallut jeter la bouteille d’eau que j’avais dans mon sac (j’avais complètement oublié). Ca fait mal au coeur surtout qu’elle était presque pleine… Gaspillage ! Mais bon, ce sont les règles.

J’arrive enfin dans la zone « duty free ». C’est sans taxe mais les prix sont doublés ici ! Bref, je fais quand même quelques achats et une cliente m’interpelle alors que je vais payer. Elle me demande si j’ai acheté ma casquette durant un match. Je lui réponds que oui et elle me dit qu’elle a la même. Je lui précise que c’est à Los Angeles que je l’ai acheté, pas à San Francisco !

Je vais ensuite attendre devant la porte A9. Ici c’est assez différent de ce que j’ai pu voir avant (dont le Canada). Lorsqu’on achète de l’alcool, des cigarettes ou du parfum, les produits sont mis sous scellés (comme au Canada donc) mais on ne peut pas les prendre avec nous. Il faut les demander au moment de l’embarquement.

Je profite de ces 2h30 avant l’embarquement pour rédiger un petit bilan, dont un brouillon avait été préparé ce matin au Starbucks.