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Pourquoi voyager dans l’Ouest américain ?

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Sarah s'interroge.

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours été passionné par l’Amérique du Nord. Je ne sais pas exactement pourquoi, mais durant mon adolescence j’ai développé une attirance très prononcée pour les États-Unis… Et plus particulièrement pour la Cité des Anges. Cet article est le premier d’une série d’une vingtaine de posts. Celui-ci me permet de vous expliquer pourquoi j’ai choisi de voyager dans l’Ouest américain.

Pourquoi voyager aux USA ?

Les USA et le rêve américain

Les nombreuses séries télévisées que j’ai consommées durant mon enfance ont un rôle à jouer. J’ai commencé par découvrir Malcolm (Malcolm in the middle), Scrubs, puis NCIS : enquêtes spéciales ou encore Les Experts (CSI : Crime Scene Investigation). À travers ces séries, j’ai découvert le rêve américain, si convoité et largement diffusé à travers le monde. Tout est possible sur le territoire du Nouveau Monde pour qui s’en donne les moyens. Un adage qui serait vrai aux États-Unis plus qu’ailleurs sur le globe. Oui, c’est ça. Pour moi, vivre en Amérique, c’est avoir l’opportunité de choisir qui je veux être et me donner les moyens d’être reconnu pour ça.

Les USA ou le pays de la malbouffe ?

Au-delà des clichés sur la junk food, les États-Unis ont cette image liée à l’épidémie d’obésité. Elle est particulièrement répandu à New-York, à Philadelphie et dans d’autres grandes villes américaines. On imagine des pauses déjeuner à grignoter de la street food (hot-dogs, burritos, pizza, frites, Pretzel, burgers, etc.). On pense aux policiers adossés à leur Ford Crown Victoria en train de déguster une demi-douzaine de donuts… Et comment penser aux USA, sans imaginer la traditionnelle dinde fourrée du quatrième jeudi de novembre, chaque année à l’occasion de Thanksgiving ?

Les USA, un univers de sportifs ?

Quand on pense aux States, on imagine des entrepreneurs de la Silicon Valley se lever aux aurores. Certains vont courir sur les plages californiennes. D’autres vont faire un jogging dans les rues encore endormies des plus grandes villes du pays. Les moins sportifs lisent quelques chapitres du dernier best-seller repéré dans le New York Times. Et après tout ça, ils avalent un petit déjeuner healthy en compagnie des bols de céréales Froot Loops ou Cheerios de leurs enfants.

Les USA, c’est aussi des moments forts et la consommation de masse…

Les États-Unis, c’est aussi le souvenir du 11 septembre. C’est la Maison-Blanche, les matchs de baseball et de football américain (et le Super Bowl). C’est aussi les courses de hot-rods, les nombreuses émissions télévisées sur tout et n’importe quoi. Ce sont Hollywood et les villas sur Mulholland Drive. Les drive-in (cinéma en plein air) et les drive-through (les « drive » tels qu’on les connaît en France), etc.

Les USA, c’est l’Amérique profonde

Le pays de l’Oncle Sam, c’est également l’Amérique profonde. L’Amérique des rednecks, des éleveurs, des agriculteurs et de ceux qui vivent de petits boulots (les “gigs”). S’ils cumulent les emplois, c’est pour survivre dans un pays où la santé coûte cher. Un pays où l’on vit à crédit pour s’offrir le dernier pick-up et pouvoir l’afficher fièrement dans son allée. Après tout, n’est-ce pas le meilleur moyen de rendre son voisin fou de jalousie ?

Alors, pourquoi voyager aux USA ?

Les USA, c’est un heureux mélange de tout ça et de bien d’autres choses… Les États-Unis d’Amérique ne sont pas tout rose, ni tout blanc, ni tout noir d’ailleurs. Ils ont leurs points forts qui nous font rêver mais aussi leurs faiblesses qui nous font relativiser. Les grandes métropoles semblent bien en avance comparées au reste du monde. Les campagnes les plus reculées du pays, quant à elles, montrent des citoyens désabusés, laissés sur le bas-côté par leur gouvernement. Il est facile d’idéaliser un pays tel que celui-ci, avec notre vision francophone outre-Atlantique. On considère facilement que l’herbe est plus verte au-delà de l’océan. Et pourtant, il faut bien considérer tous les enjeux pour avoir une vision holistique de ce qu’il s’y passe réellement.

La grande diversité des États-Unis en font, pour moi, une destination de voyage privilégiée. Mais alors, pourquoi cibler un voyage dans l’Ouest américain ? Des précisions s’imposent…

Pourquoi voyager dans l’Ouest américain ?

James Ellroy avait raison !

De mon côté, je me suis toujours beaucoup intéressé à l’État de Californie et plus particulièrement au sud de celui-ci. Je n’oublierai jamais la première fois où j’ai posé les pieds à Los Angeles. Comme le dit si bien James Ellroy : « L.A : on y vient en vacances, on la quitte en liberté conditionnelle ». Je ne peux qu’approuver cette citation qui me paraît être une vérité absolue.

Ma première fois

Mon premier voyage dans l’Ouest américain remonte à 2014. C’était le 31 août à l’aéroport international LAX après un vol intérieur en provenance de Miami. Plus de cinq heures de vol ou seulement trois heures si l’on considère l’horaire local de chacune des régions concernées. Venant de Miami où j’avais découvert les Everglades et les plages, j’ai constaté à quel point les USA étaient vastes. J’ai réalisé que chaque État possédait ses traits caractéristiques.

Voyager dans l’Est ou dans l’Ouest américain ?

En Floride, et spécialement à Miami, j’ai réalisé que les habitants sortent jusque tard dans la nuit. Ils ne sortent pas de chez eux avant le milieu de matinée. A côté de ça, ils aiment montrer à quel point ils ont réussi dans la vie (Ferrari, Lamborghini, et Hummer).

Ce qui m’a immédiatement frappé en Californie, en revanche, c’est la proximité. Des inconnus vous abordent pour démarrer une discussion. Ils vous branchent avec un de ces « small talks » propres aux Américains. Les Français comme moi ne sont pas habitués, mais c’est agréable ! Les plages y sont aussi différentes (température, sable, etc.). Au-delà du décalage horaire, le temps ne semble pas s’écouler de la même façon sur ces deux côtes américaines. Aussi, à contrario des habitants de la côte Est et à ma connaissance, les Californiens ont davantage tendance à se lever tôt et à profiter pleinement de la matinée et du soleil qu’offre cet « État doré ».

Vous l’avez compris, je suis plus intéressé par voyager dans l’Ouest américain qu’à l’Est. Même si je ne refuse jamais l’opportunité de me rendre du côté de New York, Boston, Miami, etc.

Un peu d’histoire : plusieurs voyages en Amérique du Nord

Et si je pouvais habiter outre-Atlantique ?

Au milieu des années 2000, alors adolescent, j’ai été touché par le rêve américain. Petit à petit, l’idée a germée en moi et j’ai finalement pris la décision de tout quitter et d’aller vivre aux USA ou au Canada dès que j’aurais terminé mes études. Je me suis longuement renseigné pour finalement monter un dossier afin d’immigrer au Québec dès 2012 dans le but de pouvoir partir en 2015 ; puis j’ai découvert l’existence des Permis Vacances Travail (PVT), l’équivalent des WHV (Working Holidays Visa) anglo-saxons.

En 2014, j’ai donc tenté ma chance pour obtenir un PVT, que j’ai décrochélors du second round. La réponse m’est parvenue le 15 février 2014 : j’étais le plus heureux des hommes. Celle qui deviendrait ma femme quelques années plus tard restait en France tout en ayant prévu de tenter sa chance à son tour un peu plus tard et de me rejoindre au Québec le cas échéant.

Mon PVT au Québec…

Le 11 janvier 2015, je quittais mon pays natal et m’installais à Montréal… pour revenir seulement trois mois après sur le Vieux Continent : ma compagne était tombée enceinte quelques jours avant mon départ, nous l’apprenions tous les deux, le 25 janvier de son côté à l’hôpital après un trauma crânien et un examen de routine et le 26 janvier pour moi via Skype 6 000 kilomètres plus à l’Ouest dans ma petite chambre du plateau Mont-Royal.

… ou pas !

Mon rêve américain prenait certes un coup dans l’aile, mais j’allais alors réaliser un autre objectif de vie : fonder une famille ! Si la paternité « surprise » n’empêchait pas une expatriation, les conditions n’étaient toutefois plus aussi favorables qu’avant cette découverte inattendue et les risques inhérents à une telle situation ne nous permettaient pas de nous projeter sereinement dans un tel projet, certes important, mais finalement moindre comparé à la nouvelle vie qui s’offrait à nous.

Des vacances au Canada

Je n’ai pas oublié mes premières amours pour autant et j’ai réussi à convaincre Sarah, ma compagne, de laisser notre bébé de quatre mois pour aller passer une dizaine de jours à Montréal en février 2016. Nous avons passé de très bons moments du côté de l’ancienne Nouvelle-France et si la « Belle Province » canadienne me plaisait beaucoup, mon dernier séjour aux États-Unis — en Floride et en Californie — remontait déjà à 2014. Ainsi, j’ai eu rapidement envie de repartir pour rejoindre une nouvelle fois Los Angeles, cette ville que j’affectionne tout particulièrement.

Pourquoi voyager dans l’Ouest américain en 2019 ?

Début 2018, au détour d’une discussion avec Sarah, nous décidons de faire un grand voyage pour célébrer nos trente ans et marquer le coup ! Ici, dans le Beaujolais, nous accordons une importance toute particulière au passage de chaque décennie que nous appelons les conscrits. L’occasion est trop belle et l’opportunité de remettre les pieds sur le sol américain, à deux cette fois-ci, prend rapidement le dessus sur tous les autres projets. 

À la recherche du soleil

Après le Québec durant l’hiver 2015-2016 où nous avions pu profiter pleinement de la neige et du froid canadien, et suite à l’arrivée de notre second enfant — encore une fille ! — nous avions décidé de passer ensemble une semaine en Grèce, sur l’île de Rhodes pour profiter de la chaleur estivale au mois de mai 2018. Nous apprécions tous deux beaucoup le climat chaud et sec qu’offrait cette destination et, ainsi, le principal critère pour notre nouveau projet — à l’Ouest celui-ci — était définitivement validé : le Soleil. Rapidement, nous étions tombés d’accord sur le lieu de notre voyage : la Californie.

San Francisco VS Los Angeles

Si j’avais déjà passé deux semaines dans l’État doré, Sarah y avait aussi séjourné en 2014 et nous y avions même pris un petit-déjeuner ensemble au Olsen’s Danish Village Bakery & Coffeeshop à Solvang, au nord de Santa Barbara, alors que je remontais la Pacific Coast Highway en direction de San Francisco et qu’elle la descendait pour rallier Los Angeles après trois mois de road-trip en Amérique du Sud. Si Sarah avait développé une attirance pour San Francisco, j’étais pour ma part tombé en amour avec la Californie du Sud et je tenais absolument à passer par Los Angeles à l’occasion de ce nouveau périple.

Un voyage dans l’Ouest américain, donc. Mais où, précisément ? Nous voulions tous les deux voir de nouveaux paysages mais aussi retrouver les villes qui nous avaient tant plu au cours de notre premier voyage (SF pour Sarah, LA pour ma part). Après de nombreuses journées à chercher l’itinéraire qui correspondait à nos différentes contraintes, nous avons décidé de réaliser un road-trip au départ de Frisco pour rallier la Cité des Anges après quelques arrêts dans les parcs nationaux. Mais c’était sans compter une surprise de dernière minute qui trouvera sa place pendant le séjour…

Qui sommes-nous ?

Mais attendez un instant. Je commence à vous détailler les raisons qui nous ont poussé à réaliser ce voyage, et vous vous posez sans doute la question suivante : Qui est ce couple de trentenaires Français qui se lance dans un voyage dans l’Ouest américain en laissant ses deux enfants sur le Vieux Continent pour prendre du bon temps chez l’oncle Sam ? À ce stade, il me semble donc important de vous parler un peu plus de nous, d’où l’on vient et comment les évènements nous ont conduits à ce voyage que je compte vous décrire dans les articles à venir.

Sarah et moi nous sommes rencontrés au lycée en 2004, soit quinze ans avant les faits relatés ici, alors que nous faisions nos études. Notre histoire a mis une dizaine d’années à devenir la relation telle que nous la connaissons aujourd’hui et il y aurait beaucoup à raconter, mais ce n’est pas le but de cette série. Je vous propose donc de vous en dire un peu plus sur chacune de nos personnalités.

Sarah

D’origine suisse, Sarah a passé son enfance à Montpellier. Elle est avant tout une femme dont la soif de voyages est insatiable. Durant ses études en école de commerce, elle a vécu à Buenos Aires, en Argentine et à Sydney, en Australie. Sarah est loin d’être aussi mordue des États-Unis que moi, et pourtant c’est une destination qu’elle apprécie. Cela dépend surtout des États visités (sans grande surprise la Californie, New-York et Hawaï arrivent en tête de liste). Elle s’intéresse un peu à la culture des lieux visités, mais surtout aux découvertes gastronomiques et aux paysages. Les randonnées et parcs nationaux à voir et à parcourir lui plaisent particulièrement.

Après son expérience de trois mois à parcourir l’Amérique du Sud en long, en large et en travers, on peut affirmer que les longues balades ne lui font pas peur. Et c’est particulièrement vrai lorsqu’il s’agit de randonner en pleine nature. Un voyage dans l’Ouest américain, ne faisait-il pas sens pour quelqu’un comme Sarah ?

Nicolas

Contrairement à Sarah, j’ai réalisé la majorité de mes études en alternance pour être indépendant financièrement. Je n’ai donc pas eu la possibilité d’aller vivre à l’étranger pendant cette période charnière de la vie. L’occasion de réaliser un PVT en Amérique du Nord faisait ainsi doublement sens.

Au-delà de mon rôle de père de famille, j’aime passer du temps à bricoler ma vieille Ford Mustang. Une voiture américaine, comme par hasard ! J’adore lire, particulièrement des biographies de personnalités américaines ayant réussi mais également les romans d’intrigues comme savent les faire Michael Connelly, James Ellroy et Joël Dicker. Lorsque je voyage, j’apprécie tout spécialement me déplacer à pied. Et oui, même à Los Angeles pourtant si connue pour ses distances souvent accessibles uniquement en voiture. Lorsque c’est possible, j’apprécie les randonnées où je prends des photos pour immortaliser les instants les plus marquants. Là encore, vous le voyez venir, le voyage dans l’Ouest américain prend tout son sens…

En outre, il faut savoir qu’au mois de janvier de l’année 2019, j’ai diminué drastiquement ma consommation de viande et adopté un régime flexitarien. Ce, à la fois pour des raisons liées à ma santé, à l’écologie et à la protection des animaux. Ainsi, les seules protéines animales consommées sont issues de poissons et d’œufs. Là encore, c’est un autre sujet qui ne fera pas l’objet de cette série d’articles. J’ai toutefois mis cette pratique entre parenthèses une fois arrivé en Californie afin de profiter pleinement des burgers et du bacon lorsque l’occasion se présentait. J’ai bien tenté quelques plats végétariens, à plusieurs reprises, mais sans grand succès.

Récit de notre voyage dans l’Ouest américain

Après mon voyage aux USA de 2014, j’ai mis trois ans avant de me plonger dans mes photos prises sur place. Je l’avais fait en les géo-localisant grâce à un site Internet spécialisé dans le partage d’images. Pour cette série d’articles, c’est un peu la même chose. J’ai attendu deux ans avant d’ouvrir un traitement de texte et de consigner mes souvenirs de ce voyage dans l’Ouest américain.

Cette activité a été largement facilitée par l’habitude que j’ai prise d’écrire de courts résumés de chacune de mes journées de voyage. J’ai ainsi décidé de réaliser ces articles pour condenser, en une vingtaine de chapitres, mes récits de road-trip en Californie et partager, avec vous, ma passion pour l’Amérique, mon goût pour les parcs nationaux, ma soif pour l’aventure et quelques clichés d’une région qui ne demande qu’à être découverte.

Pour qui sont ces articles, finalement ?

Si mes récits de voyage sont habituellement destinés à ma famille, à mes amis proches, et pourraient même servir de capsule temporelle lorsque j’aurais envie de lire mes souvenirs dans quelques années, j’ai choisi de compiler l’ensemble de ceux-ci en apportant des détails supplémentaires afin de partager cette appétence pour les States avec le plus grand nombre. Comme le disait Lee Iacocca, ancien président de Ford puis de Chrysler et considéré comme le père de la Mustang, « lorsqu’on couche ses idées sur le papier, on est tenu de se pencher sur les détails ». C’est justement ce que je cherche à faire en me lançant dans un tel projet d’écriture : revivre mes souvenirs de voyages, ressentir les émotions qui m’ont animées sur place, revoir les rues, les plages et les routes américaines comme je les ai découvertes à l’époque. Bref, je veux vous emmener en voyage dans l’Ouest américain !

Le contenu que j’écris…

Vous l’aurez compris, ces articles sont destinés à celles et ceux qui souhaitent se projeter dans l’Ouest américain l’espace de quelques heures, s’imaginer en train d’écouter le silence dans la Vallée de la Mort, d’apprécier le vent frais matinal au bord de l’océan Pacifique, de randonner au milieu des biches à Sequoia National Park, de s’émerveiller devant les paysages époustouflants du parc national de Yosemite, de conduire sur la mythique Route 66, d’écouter les machines à sous dans les nombreux casinos de Las Vegas, ou encore de se balader entre les gratte-ciels de San Francisco et de Los Angeles. Il s’agit d’un récit d’aventure dans l’Ouest américain par un couple de Français amoureux des grands espaces, qui se concentre presque exclusivement sur le Golden State.

… et ce que vous ne trouverez pas dans cette série

Cette série n’est toutefois en aucun cas un guide touristique pour voyager efficacement aux États-Unis (d’excellents sites Internet, blogs et ouvrages largement connus existent et remplissent déjà ce rôle à merveille). Il ne s’agit pas non plus d’un recueil d’avis sur les hôtels et restaurants californiens (nous sommes d’ailleurs surtout passés par des AirBnB et, encore une fois, il existe des sites spécialisés pour ce besoin précis).

Aussi, si vous vous attendez à retrouver une présentation complète et détaillée des villes et parcs nationaux de l’Ouest américain, je vous invite à fermer cet onglet et à consulter Wikipédia et les nombreuses autres pages web qui sont tout indiquées pour cet usage. De la même manière, je n’écris aucune ligne sur les parcs de Yellowstone, Canyon lands, Antelopes Canyon, Bryce Canyon, Arches, Grand Teton ou Grand Canyon dans la mesure où nous nous sommes concentrés sur les trois parcs californiens de Sequoia, Yosemite et Death Valley que nous avons eu la chance de visiter.

Conclusion : nous allons voyager dans l’Ouest américain !

Maintenant que vous connaissez les raisons de ce voyage dans l’Ouest américain, je vous expliquerai comment nous nous sommes organisés dans le prochain article.

Je vous partagerai aussi notre itinéraire, qui nous a permis de profiter pleinement de la Californie en seulement deux semaines. Vous trouverez également des informations sur les parcs nationaux que nous avons visités, à savoir Yosemite, Sequoia, et Death Valley ; je vous ferai aussi part de nos découvertes culturelles et gastronomiques dans les villes de San Francisco, Las Vegas et Los Angeles.