Un V8 à la poubelle…
Cela fait déjà six mois que je n’ai pas donné de nouvelles concernant ma Mustang. Et j’ai de bonnes raisons… mais il est temps de corrigé le tir et de vous donner quelques infos ! Accrochez vos ceintures, on est parti !
Cela fait déjà six mois que je n’ai pas donné de nouvelles concernant ma Mustang. Et j’ai de bonnes raisons… mais il est temps de corrigé le tir et de vous donner quelques infos ! Accrochez vos ceintures, on est parti !
La restauration de Guillaume est une histoire qui me touche particulièrement. D’abord parce qu’il s’agit du sauvetage d’une Mustang II – et peu consacrent du temps et de l’argent dans une II – mais également car j’ai suivi – en différé – cette renaissance durant mon premier congé paternité. À chaque fois que je me replonge dans cette aventure, c’est avec grand plaisir. Autant dire que lorsque Guillaume a accepté que je rédige ce billet, j’étais aux anges !
J’ai connu Pascal alors qu’il entamait la restauration de son cabriolet ’67 Lime Gold. Très sympathique habitant du Centre-Val de Loire, j’étais alors loin de me douter qu’il s’agissait d’un véritable passionné de voitures anciennes. Nos discussions à propos de sa restauration en cours se faisant, nous avons pu faire connaissance. Dernièrement, il a ramené un cabriolet ’67 de couleur Vintage Burgundy à la maison. L’occasion était trop tentante pour moi d’écrire un article sur cette auto, sur cet homme, et sur l’histoire que je m’empressais de découvrir.
Marc est un jeune homme de vingt-sept printemps résidant à Belfort, en Bourgogne-Franche-Comté. Il rêve de voitures anciennes, américaines et musclées depuis de nombreuses années. Ce jeune homme doit probablement cette qualité à son père, passionné également de voitures anciennes et dont il possède quelques exemplaires. Déjà motard (il fait un peu de piste avec sa 1000 gsxr), Marc voit son budget croitre d’années en années afin de se payer une Ford Mustang de 1967 ou 1968 avec un critère indispensable : l’auto doit être totalement d’origine. En attendant, il collectionne les modèles 1/18ème.
Sophie possède un très beau modèle de Ford Mustang, d’une couleur peu commune : le Vintage Burgundy. Si la couleur rappelle les vignobles français, l’œnologie n’est… Lire la suite »Sophie et sa Mustang ’66 Vintage Burgundy
Régulièrement, Amoniac.net vous propose de découvrir un film ou une série qui met les projecteurs sur une Mustang. Ces articles présentent brièvement l’oeuvre cinématographique et visent à… Lire la suite »Hatchback ’87 dans Footloose
Régulièrement, Amoniac.net vous propose de découvrir un film ou une série qui met les projecteurs sur une Mustang. Ces articles présentent brièvement l’oeuvre cinématographique et visent à… Lire la suite »Coupé ’66 dans Wanted
Vous vous souvenez peut-être, ou peut-être pas, j’avais créé une vidéo pour l’évènement 2017. J’avais décidé d’y retourner pour la troisième année consécutive. La route s’est d’ailleurs faite en bonne compagnie (convoi avec un cab 67, un coupé de chaque millésime 65-66-67, un fastback 67, un coupé 2006 et ma 66). Jean, Scal, Pascal, Damien, Jean-Luc, Aymeric et ses parents (dans l’ordre des autos citées) étaient ainsi de la partie pour la route allée. Voici mon bilan pour les Classic Days 2018.
Régulièrement, Amoniac.net vous propose de découvrir un film ou une série qui met les projecteurs sur une Mustang. Ces articles présentent brièvement l’oeuvre cinématographique et visent à… Lire la suite »Cabriolet 2005 dans Homefront
Cela fait quelques temps que je n’ai pas posté d’article sur le blog en général et au sujet d’Arianny particulièrement. Cela s’explique par un manque de temps à consacrer au projet, un manque de moyen financier pour remédier à quelques soucis techniques et peut-être aussi une petite baisse de motivation. Bref, un tout qui n’a pas aidé. Je me remets doucement sur le projet. Pour cela, quoi de mieux que de vous raconter notre deuxième weekend en Savoie dans l’atelier de mon ami Scal ? Au programme : changement de carburateur, de pipe d’admission, des lames de suspensions arrières, des amortisseurs, et j’en passe et des meilleurs !